Quand ton pire ennemi, c’est toi-même
- Isabelle Lefebvre
- 22 août
- 2 min de lecture
As-tu déjà eu cette petite voix intérieure qui te dit :
👉 « Tu n’es pas assez compétent. »
👉 « Tu n’as pas ta place ici. »
👉 « Si les autres découvrent la vérité, ils vont se rendre compte que tu n'es pas à la hauteur. »
Bienvenue dans le monde du syndrome de l’imposteur.
Ce phénomène touche plus de 70% des professionnels au moins une fois dans leur carrière. Et ce n’est pas réservé aux débutants. Même des leaders, des gestionnaires expérimentés, ou des entrepreneurs à succès peuvent en souffrir.
Les signes que tu vis peut-être le syndrome de l’imposteur :
Tu attribues tes réussites à la chance ou à des circonstances extérieures.
Tu te compares constamment aux autres et te sens “moins” qu’eux.
Tu ressens une peur constante d’être “démasqué”.
Tu évites de nouvelles opportunités par crainte d’échouer.
Le danger du syndrome de l’imposteur
Ce n’est pas seulement une question de confiance en soi. À long terme, ce discours intérieur limite ton potentiel, t’empêche de saisir des opportunités et nourrit… la fameuse peur professionnelle.
3 pistes pour le dépasser :
Nommer la voix intérieure : lui donner un nom ou un visage aide à prendre du recul. Ce n’est pas toi, c’est une pensée passagère, une partie blessée de toi.
Se rappeler les faits : garde une trace concrète de tes réussites (témoignages, projets, résultats). Les faits contredisent la peur.
Partager ton ressenti : en parler avec un coach, un mentor ou des collègues de confiance aide à relativiser.
🌟 Le syndrome de l’imposteur ne disparaît pas toujours complètement. Mais on peut apprendre à vivre avec, à l’apprivoiser, et à ne plus lui laisser les commandes.
Parce qu’au fond, ce n’est pas que tu n’es pas à ta place.
C’est que tu es en train de grandir.




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