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Quand ton pire ennemi, c’est toi-même

As-tu déjà eu cette petite voix intérieure qui te dit :

👉 « Tu n’es pas assez compétent. »

👉 « Tu n’as pas ta place ici. »

👉 « Si les autres découvrent la vérité, ils vont se rendre compte que tu n'es pas à la hauteur. »


Bienvenue dans le monde du syndrome de l’imposteur.


Ce phénomène touche plus de 70% des professionnels au moins une fois dans leur carrière. Et ce n’est pas réservé aux débutants. Même des leaders, des gestionnaires expérimentés, ou des entrepreneurs à succès peuvent en souffrir.


Les signes que tu vis peut-être le syndrome de l’imposteur :

  • Tu attribues tes réussites à la chance ou à des circonstances extérieures.

  • Tu te compares constamment aux autres et te sens “moins” qu’eux.

  • Tu ressens une peur constante d’être “démasqué”.

  • Tu évites de nouvelles opportunités par crainte d’échouer.


Le danger du syndrome de l’imposteur

Ce n’est pas seulement une question de confiance en soi. À long terme, ce discours intérieur limite ton potentiel, t’empêche de saisir des opportunités et nourrit… la fameuse peur professionnelle.


3 pistes pour le dépasser :

  1. Nommer la voix intérieure : lui donner un nom ou un visage aide à prendre du recul. Ce n’est pas toi, c’est une pensée passagère, une partie blessée de toi.

  2. Se rappeler les faits : garde une trace concrète de tes réussites (témoignages, projets, résultats). Les faits contredisent la peur.

  3. Partager ton ressenti : en parler avec un coach, un mentor ou des collègues de confiance aide à relativiser.


🌟 Le syndrome de l’imposteur ne disparaît pas toujours complètement. Mais on peut apprendre à vivre avec, à l’apprivoiser, et à ne plus lui laisser les commandes.


Parce qu’au fond, ce n’est pas que tu n’es pas à ta place.

C’est que tu es en train de grandir.


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