Après la dépression : qui suis-je maintenant ?
- Isabelle Lefebvre
- 24 févr.
- 1 min de lecture
Quand on traverse une dépression, on ne se contente pas de mettre sa vie sur pause. On perd des morceaux de soi en chemin. On change.
👉 Ce qui nous motivait avant ne nous touche plus de la même façon.
👉 Les priorités se redéfinissent, parfois sans qu’on l’ait choisi.
👉 Nos limites sont différentes… mais le monde autour de nous n’a pas changé.
Alors, comment revenir dans un cadre professionnel quand on ne se reconnaît plus totalement?
💭 Dois-je retourner à mon ancien poste, ou est-ce que ce chapitre est clos?
💭 Suis-je encore capable de performer comme avant?
💭 Comment expliquer cette période sans me sentir vulnérable ou jugé?
Ce n’est pas seulement une question de travail. C’est une question de réalignement. Parce que reprendre sa place, ce n’est pas simplement reprendre son emploi. C’est trouver une façon de travailler qui respecte ce que tu es devenu.
🌿 Tu as changé. Ton chemin professionnel peut, lui aussi, évoluer avec toi.
Si tu ressens cette transition comme un flou, une remise en question, sache que tu n’as pas à le traverser seul.
👉 Je peux t’aider à clarifier ce que tu veux vraiment.
👉 À adapter ton retour pour qu’il t’apporte plus de sens et de sérénité.
👉 À retrouver confiance en toi, sans te forcer à redevenir qui tu étais avant.
📩 Si tu es à cette croisée des chemins, écris-moi. On en parlera ensemble. Parce que ton avenir professionnel peut être une suite… mais aussi un nouveau départ.
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Pénélope McQuade
2 janvier 2020
"La dépression... Ce n'est pas se sentir down parce qu'il pleut.
C'est se sentir envahie de gris jusqu'aux idées les plus sombres chaque fois que le soleil ne se pointe pas dehors.
Ce n'est pas avoir envie de rester sous la couette toute une journée en ne répondant pas au téléphone.
C'est vivre les cheveux gras, le corps sale, coupable et honteuse, avec des dizaines et des dizaines de messages qui s'accumulent dans sa boite vocale, pendant des jours et des jours.
Ce n'est pas annuler des plans un samedi soir parce qu'on est tristounet.
C'est ne jamais, jamais, jamais pouvoir faire de plans à l'avance parce que les chances que la paralysie nous…